Nous avons tous entendu de remèdes, transmises de génération en génération, prêts remèdes sains et maintien de la santé préventive de l'Orient ancien à notre cowboy américain.
Maintenant par la science, la médecine est mise à l'essai et des recherches sur le pouvoir des herbes et de trouver qu'il juste pourrait avoir quelque chose à l'idée que les herbes se regardent plus assez, sentir bon, ou faire des thés et épices savoureuses.
Pour aussi longtemps que l'homme a été faire malades, vieux ou encore imbibées trop, nous avons recherché d'un remède à nos maux. Souvent, avant la médecine officielle comme nous la connaissons aujourd'hui, herbes jouent un rôle majeur en aidant nos maux et apaisant de nos douleurs.
Herbes ont joué un rôle important dans presque toutes les cultures à prolonger la vie, guérir les malades ou même prévenir la maladie. Durant le moyen âge, nombreuses herbes, y compris l'ail, ont été utilisés pour conjurer les démons, les vampires et la peste. La science peut fournir des éléments de preuve démontrant l'utilisation de l'ail à potentiellement conjurer la peste.
Récemment, herbes ont bénéficié de regain de popularité. Comme la plupart d'entre nous est devenus plus soucieux de leur santé, nous avons réalisé les inconvénients de s'appuyer uniquement sur anti-biotic remèdes pour guérir la grippe, les rhumes et maladies plus élémentaires.
Nous avons commencé à examiner plus sérieusement des réparations plus âgées qui ont été autour depuis des siècles pour des remèdes pour tout, depuis le rhume à l'arthrite. La médecine et la science moderne sont maintenant mettre beaucoup de ceux supposés remèdes à l'épreuve, examinant tout, de cataplasmes guérison blessure aux réparations de la dépression.
À la Division de la recherche fondamentale au Cancer Center à Columbia, Caroline du Sud, Caroline du Sud, cette recherche a été prise à un nouveau niveau. Non seulement ils examinent si les remèdes pourraient fonctionner, ils cherchent également à des questions liées à la sécurité, les dosages, et les herbes les interactions possibles pourraient avoir avec les prescriptions de la médecine traditionnelle.
En plus de leur efficacité, les chercheurs sont attendent à voir si les herbes possèdent certains avantages au-delà de la médecine allopathique. Ils cherchent également à voir si les « remèdes » permettre aux personnes de contrôler leurs décisions médicinales et possèdent donc plus de contrôle sur leurs choix de traitement et de réparation.
L'utilisation d'herbes, en réparations et en compléments alimentaires, a soulevé de nombreuses questions.
Remèdes sont sécuritaires ? Un remède à base d'herbes peut abuser au point de toxicomanie ou de l'inefficacité ? Plus important encore, ils interagissent avec les médicaments pharmaceutiques, et si ils le font, est l'interaction positive ou négative ?
Le meilleur exemple de pourquoi il faut recherche a trait à l'efficacité et l'interaction résultant de l'utilisation régulière de millepertuis. Millepertuis est un antidépresseur à base de plantes doux qui est bien toléré par de nombreux patients. En vigueur, il a été prouvé pour avoir un effet sur la prise de certains médicaments courants.
Par exemple, le millepertuis peut induire CYP3A de la famille des enzymes d'activation par lesquels environ 50 % des médicaments sont métabolisés. Ce type d'interaction peut créer un risque en réduisant la moitié de la vie de ces médicaments comme l'Indinavir, cyclosporine et le Cyclophosphamide, causant ainsi ces médicaments aux Interactions moins efficaces comme cela, cependant, ne sont pas tous négatifs.
Dans certains cas, les produits à base d'herbes pourraient créer une voie qui réplique de produits pharmaceutiques, mais ne possèdent pas d'effets secondaires négatifs. À titre d'exemple, plusieurs composés anti-inflammatoires naturels trouvés dans les herbes comme le thé vert, curcuma, romarin, grande camomille, et d'autres ne possèdent pas le risque que certains anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) sont censés pour posséder.
Remèdes naturels pourraient atténuer la dépendance à ces types de produits pharmaceutiques et donc de réduire le potentiel de provoquer plusieurs types de cancers.
Dans ces faits et les conclusions des études supplémentaires sont nécessaires. La Division de la recherche fondamentale est consacrée à l'examen des deux côtés de la question. Plus de recherches, en fait, pourrait nous que ce que les anciens ont connu tout au long.
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